Augmenter l’espérance de vie : la nouvelle directive sur le diabète répond à l’évolution des besoins

Le diabète est une pathologie innée ou acquise et peut impacter la santé d’un individu de façon relativement importante depuis sa naissance jusqu’à son décès. Bien que la maladie n’implique pas une mortalité dominante dans l’ensemble de la population, la période à laquelle certaines maladies se déclarent peuvent en revanche affecter la vie du patient. Les personnes âgés disposant d’un niveau de santé comparables à celui des enfants, ils deviennent facilement la cible de maladies comme le diabète si les facteurs à risque sont réunis. Plusieurs sociétés professionnelles ont travaillé ensemble sur la nouvelle directive consensuelle sur le diabète chez les personnes âgées. Le vieillissement étant une variable influencée par plusieurs facteurs, il est essentiel contrôler un maximum de paramètres pour s’assurer de récolter des données statistiques viables. Il en résulte alors des recommandations utiles permettant de réduire l’évolution durant le vieillissement pour tous les groupes de patients âgés.

Objectif thérapeutique le plus important : la qualité de vie

L'augmentation de l'espérance de vie et le nombre croissant de patients âgés font du traitement du diabète chez les personnes âgées une question encore plus importante. Les personnes qui ont soixante-dix ans aujourd'hui vivront souvent avec le diabète pendant de nombreuses années. Cette espérance de vie impose de nouvelles exigences au traitement de ce groupe de population. Le plus grand problème chez les diabétiques âgés est la multimorbidité. La perte d'audition, l'ostéoporose, la mobilité réduite, les maladies du système nerveux et les maladies métaboliques doivent être prises en compte. La ligne directrice aborde explicitement cette question dans chaque cas, mais il faut souligner que celle-ci ne s’étendra pas forcément sur des cas particuliers. Elle se basera surtout l’état de santé moyen de ces individus. Par ailleurs, la population à risque a été également divisée en sous-groupes afin d’acquérir des données plus fiables sur quelques années. Les patients ont été répartis non seulement en fonction de leur âge, mais aussi en fonction de leur fonctionnalité.

La nouvelle division du groupe fonctionnel :

Les objectifs de la thérapie sont nouvellement définis et les effets secondaires de la thérapie doivent être réduits aux autres minimum afin d’apporter plus de précision durant une période définie. Les corridors cibles pour les personnes âgées atteintes de diabète sont formulés dans la nouvelle ligne directrice sur tous les points essentiels et pour les différents sous-groupes. Dans le cas de l'HbA1c, les patients dont l'espérance de vie est supérieure à 15 ans devraient pouvoir atteindre 6,5 à 7,5 ans. Ces personnes âgées peuvent ainsi bénéficier des avantages d'une thérapie plus intensive pendant une période suffisamment longue. La pression artérielle est indiquée comme inférieure à 150 mmHg (sur 80 ans) et inférieure à 140 mmHg (60 à 80 ans). La glycémie avant les repas est indiquée comme 100 - 125 mg/dl pour ce groupe de femmes et d'hommes. Les objectifs des autres sous-groupes sont alors différenciés en conséquence.

Un accord n'a pas pu être conclu entre toutes les entreprises concernées

Pour le groupe de patients fonctionnellement indépendants, l'objectif pour l'HbA1c est de 7,0 - 8,5 %. Chez les patients très âgés ou multimorbides, dans le cas d’absence de symptômes, la science infirmière vise un taux d'HbA1c de 8,0 ei. Il faut également fixer l'objectif d'absence de symptômes pour les infirmiers toxicomanes, la science infirmière visant un taux d'HbA1c de 8,5n. Dans la phase de fin de vie, il existe un consensus sur le fait que cela doit être fait individuellement dans le but d'éviter les symptômes. Les entreprises ne partent pas du principe que les objectifs thérapeutiques sont aussi stricts que ceux de la médecine infirmière ; elle recommande 7,0 à 8,5 % d'HbA1c pour éviter l'hypoglycémie. L'une des particularités de la nouvelle directive est le thème des syndromes gériatriques et des situations particulières de la vieillesse : Le diabète de type 1 chez les personnes âgées est de plus en plus présent. Plus de 100 000 personnes atteintes de diabète de type 1 ont plus de 70 ans. Et l'incidence du diabète de type 1 augmente avec l'âge, dont l’évolution se répercutera inévitablement sur leur santé.

Le vieillissement : l’état à ne surtout pas négliger

Les syndromes gériatriques du vieillissement tels que la démence, la limitation de la motricité fine peuvent restreindre l'autogestion en rajoutant qu’ils peuvent évidemment augmenter le risque de décès. D'où la note dans le guide sur la manière de traiter les troubles cognitifs, par exemple. La question clé est la suivante : quand faut-il modifier à temps la thérapie de la démence pour que la nouvelle puisse encore être internalisée ? Le dépistage gériatrique est notamment important afin de pouvoir évaluer si un patient peut suivre la thérapie de manière autonome. Le test de comptage de l'argent est ici une bonne option. Le médecin est également chargé de tester la capacité à s'injecter de manière indépendante. Il est enfin nécessaire de modifier ou choisir entre des formes de thérapie plus simples et le souhait individuel de conserver la thérapie par pompe à insuline en fonction de certains facteurs comme l’évolution de l’incidence du diabète. Si nécessaire, les fluctuations de la FC sont acceptées.